Archives de catégorie : Avocat

Du sursis pour avoir menacé Louis Sarkozy

 index 3 25/02/2008

L’homme qui avait menacé à plusieurs reprises par téléphone le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy a été condamné lundi à trois mois de prison avec sursis.

 Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé à plusieurs reprises par téléphone le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy, a été condamné lundi à 3 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bobigny. Son co-prévenu, âgé de 21 ans, a lui été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir divulgué le numéro de portable de Louis, le jeune fils du président de la République, et de Cécilia. Tous deux devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de Louis Sarkozy.

L’affaire remonte à une soirée de l’été 2007. Un salarié d’Orange se vante alors auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP de l’opérateur téléphonique, dont celui de Cécilia Sarkozy. L’ami, sapeur-pompier, décide alors de composer le numéro et tombe sur le jeune fils du président de la République et de Cécilia. Il rappellera plusieurs fois l’enfant sans laisser de message. Le 5 janvier, il profèrera des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide cette fois d’un téléphone portable volé à un jeune voisin.

Une attitude « stupide »

Au cours du procès, le jeune homme a expliqué qu’il « voulait juste savoir si le numéro appartenait à la famille Sarkozy« . Il s’est ensuite excusé auprès de la famille Sarkozy, expliquant qu’il avait « été stupide« . L’autre prévenu, salarié d’Orange, a lui déclaré « ne pas s’être rendu compte des proportions » que cette affaire « allait prendre« . Il avait également divulgué à son ami les numéros de personnalités telles que Sébastien Chabal, Christophe Dominici, Nicolas Anelka ou encore Elodie Gossuin. « On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences« , mais « il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues« , a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était « quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe« , a-t-il ajouté. Le procureur avait requis 6 mois de prison avec sursis pour le premier et 4 mois de prison avec sursis pour le second, et avait demandé pour les deux hommes, originaires de Seine-Saint-Denis, une peine de « travail d’intérêt général« .(D’après agence)

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3 mois avec sursis pour menaces contre le fils de Sarkozy

JeanMarcMorandini.Com 25/02/2008

Il y a quelques semaines, un sapeur pompier, Benjamin L., s’ était rendu coupable de menaces de mort par téléphone à l’ encontre du fils de Nicolas Sarkozy, Louis, âgé de 10 ans. Le jugement bien d’être rendu: il a été condamné à une peine de trois mois de prison avec sursis, et à 1 euro de dommages et intérêts.

Son complice, qui était employé dans la société Orange, et qui lui avait fourni la liste VIP des abonnés de l’ opérateur, a été condamné pour divulgation de données confidentielles portant atteinte à la vie privée, et à une peine d’ amende de 700 euros, ainsi qu’un euro de dommages et intérêts.

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Menaces de mort contre le jeune fils Sarkozy: trois mois de prison.

20minutes.fr 25/02/2008

Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé de mort par téléphone le fils âgé de 10 ans du président français Nicolas Sarkozy et de son ex-épouse Cécilia, a été condamné lundi à trois mois de prison avec sursis.

Son complice présumé, âgé de 21 ans, a été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir donné le numéro de portable de Louis, le fils du président, qu’il avait obtenu auprès d’un ami salarié d’un opérateur de téléphonie.

Les deux hommes, qui ont affirmé qu’ils avaient agi par jeu et se sont excusés auprès de leurs victimes, devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de l’enfant.

Le procureur avait requis six mois de prison avec sursis pour le premier et 4 mois de prison avec sursis pour le second, et avait demandé pour les deux hommes, originaires de la banlieue nord de Paris, une peine de travail d’intérêt général.

Au cours d’une soirée de l’été 2007, un salarié de l’opérateur de téléphonie Orange s’était vanté auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP, dont celui de Cécilia Sarkozy. L’ami, sapeur-pompier, avait alors décidé d’appeler le numéro de Louis Sarkozy, d’abord plusieurs fois sans laisser de message. Mais lors d’un appel le 5 janvier, il avait proféré des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide d’un téléphone portable volé à un jeune voisin.

«On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences», mais «il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues», a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était «quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe», a-t-il ajouté.

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Trois mois avec sursis pour avoir menacé par téléphone le fils de Sarkozy

  25/02/2008

Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé à plusieurs reprises par téléphone le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy, a été condamné lundi à 3 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bobigny.

Son co-prévenu, âgé de 21 ans, a été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir divulgué le numéro de portable de Louis, le jeune fils du président de la République, et de Cécilia. Tous deux devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de Louis Sarkozy.

Le procureur avait requis 6 mois de prison avec sursis pour le premier et 4 mois de prison avec sursis pour le second, et avait demandé pour les deux hommes, originaires de Seine-Saint-Denis, une peine de «travail d’intérêt général».

Au cours d’une soirée de l’été 2007, un salarié d’Orange se vante auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP de l’opérateur téléphonique, dont celui de Cécilia Sarkozy.

L’ami, sapeur-pompier, décide alors de composer le numéro et tombe sur le jeune fils du président de la République et de Cécilia. Il rappellera plusieurs fois l’enfant sans laisser de message. Le 5 janvier, il profèrera des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide cette fois d’un téléphone portable volé à un jeune voisin.

Le jeune homme a expliqué qu’il «voulait juste savoir si le numéro appartenait à la famille Sarkozy». Il s’est ensuite excusé auprès de la famille Sarkozy, expliquant qu’il avait «été stupide».

L’autre prévenu, salarié d’Orange, a déclaré «ne pas s’être rendu compte des proportions» que cette affaire «allait prendre». Il avait également divulgué à son ami les numéros de personnalités telles que Sébastien Chabal, Christophe Dominici, Nicolas Anelka ou encore Elodie Gossuin.

«On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences», mais «il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues», a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était «quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe», a-t-il ajouté.

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Trois mois de prison pour avoir menacé de mort le fils Sarkozy

6534276-9854705 25/02/2008

Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé de mort par téléphone le fils âgé de 10 ans du président français Nicolas Sarkozy et de son ex¬épouse Cécilia, a été condamné lundi à 3 mois de prison avec sursis.

Son complice présumé, âgé de 21 ans, a été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir donné le numéro de portable de Louis, le fils du président, qu’il avait obtenu auprès d’un ami salarié d’un opérateur de téléphonie.

Les deux hommes, qui ont affirmé qu’ils avaient agi par jeu et se sont excusés auprès de leurs victimes, devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de l’enfant. Le procureur avait requis 6 mois de prison avec sursis pour le premier et 4 mois de prison avec sursis pour le second, et avait demandé pour les deux hommes, originaires de la banlieue nord de Paris, une peine de « travail d’intérêt général”.

Au cours d’une soirée de l’été 2007, un salarié de l’opérateur de téléphonie Orange s’était vanté auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP, dont celui de Cécilia Sarkozy. L’ami, sapeur-pompier, avait alors décidé d’appeler le numéro de Louis Sarkozy, d’abord plusieurs fois sans laisser de message.

Mais lors d’un appel le 5 janvier, il avait proféré des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide d’un téléphone portable volé à un jeune voisin. « On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences », mais « il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues », a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était « quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe », a-t-il ajouté.

Menaces de mort contre le jeune fils Sarkozy: trois mois de prison avec sursis

la-croix-logo 25/02/2008

Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé de mort par téléphone le fils âgé de 10 ans du président français Nicolas Sarkozy et de son ex-épouse Cécilia, a été condamné lundi à 3 mois de prison avec sursis.

Son complice présumé, âgé de 21 ans, a été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir donné le numéro de portable de Louis, le fils du président, qu’il avait obtenu auprès d’un ami salarié d’un opérateur de téléphonie.

Les deux hommes, qui ont affirmé qu’ils avaient agi par jeu et se sont excusés auprès de leurs victimes, devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de l’enfant.

Le procureur avait requis 6 mois de prison avec sursis pour le premier et 4 mois de prison avec sursis pour le second, et avait demandé pour les deux hommes, originaires de la banlieue nord de Paris, une peine de « travail d’intérêt général ».

Au cours d’une soirée de l’été 2007, un salarié de l’opérateur de téléphonie Orange s’était vanté auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP, dont celui de Cécilia Sarkozy.

L’ami, sapeur-pompier, avait alors décidé d’appeler le numéro de Louis Sarkozy, d’abord plusieurs fois sans laisser de message. Mais lors d’un appel le 5 janvier, il avait proféré des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide d’un téléphone portable volé à un jeune voisin.

« On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences », mais « il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues », a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était « quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe », a-t-il ajouté.

Trois mois de prison avec sursis pour avoir menacé Louis Sarkozy

, 26/02/08

Un jeune homme de 22 ans, qui avait menacé par téléphone le plus jeune des fils du chef de l’Etat, a été condamné à trois mois de prison avec sursis. Son co-prévenu, un salarié d’Orange, a écopé d’une amende de 700 euros.

Il avait menacé à plusieurs reprises par téléphone le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy. Lundi 25 février, l’accusé, un jeune homme de 22 ans, a été condamné à 3 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Bobigny.

Son co-prévenu, âgé de 21 ans, a été condamné à une amende de 700 euros pour lui avoir divulgué le numéro de portable de Louis, le jeune fils du président de la République, et de Cécilia. Tous deux devront également verser 1 euro de dommages et intérêts à chacun des parents de Louis Sarkozy.

Six mois de prison avec sursis pour le premier et quatre mois pour le second avaient été requis. Le procureur avait également demandé pour les deux hommes, originaires de Seine-Saint-Denis, une peine de « travail d’intérêt général ».

Eté 2007 : un salarié d’Orange se vante auprès de son ami d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP de l’opérateur téléphonique. Parmi eux figure le numéro de de Cécilia Sarkozy.

L’ami, sapeur-pompier, décide alors de composer le numéro et tombe sur Louis, le fils du couple. Plusieurs fois il rappellera l’enfant sans laisser de message. C’est le 5 janvier qu’il profère des menaces de mort envers le garçonnet, à l’aide cette fois d’un téléphone portable volé à un jeune voisin.

« Ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences »

Le jeune homme a expliqué qu’il « voulait juste savoir si le numéro appartenait à la famille Sarkozy ». Il s’est ensuite excusé auprès de la famille Sarkozy, expliquant qu’il avait « été stupide ».

L’autre prévenu, salarié d’Orange, a déclaré « ne pas s’être rendu compte des proportions » que cette affaire « allait prendre ». Il avait également divulgué à son ami les numéros de personnalités telles que Sébastien Chabal, Christophe Dominici, Nicolas Anelka ou encore Elodie Gossuin.

« On a le sentiment que ce jeune homme n’a pas mesuré les conséquences », mais « il y a plus de peur que de mal et les excuses ont été entendues », a déclaré Me Thierry Herzog, avocat de Nicolas Sarkozy.

L’avocat du jeune sapeur-pompier, Me Stéphane Maugendre, a affirmé que son client était « quelqu’un d’immature, qui ne s’extériorise pas, qui ne parle pas de son métier difficile. C’est une sorte de violence qui sort de lui, avec l’alcool qui le désinhibe », a-t-il ajouté.

L’article 222-17 du Code pénal sur la menace de mort
« La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punissable est punie de six mois d’emprisonnement et de 7.500 euros d’amende lorsqu’elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet.
La peine est portée à trois ans d’emprisonnement et à 45.000 euros d’amende s’il s’agit d’une menace de mort. »

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Police-state measures against immigrants provoke resistance

title A.Prakash and A.Lerougetel, 16/01/2008

French government measures to recruit networks of informers in the public services to aid the police hounding of illegal immigrants, or sans papiers, and which oblige staff to become “police auxiliaries,” are creating alarm and resistance among these workers. Simultaneously, the criminalization of those giving aid and assistance to sans papiers is advancing rapidly.

The French state stepped up its attack on immigrants after the minister of immigration and national identity, Brice Hortefeux, fell behind on the target for deportations. By the end of November 2007, “only” 18,600 people had been deported, falling behind on the goal of 25,000 for the year. The final total for 2007 is officially 23,186 expulsions, and the target of 25,000 has again been set for 2008.

An earlier decree on May 11, 2007, applying an immigration law passed in July 2006, requires staff working for the ANPE national employment agency and the UNIDIC national unemployment benefit organisation to systematically send, every day, copies of immigrant job and benefit applicants’ residence permits to the local préfecture (national law enforcement agency).

Previously, it was the task of employers, not ANPE staff, to verify the legal status of employees. Now, benefit office staff cannot give allowances due to unemployed immigrant workers without the authorisation of the préfecture.

Requiring the staff who process job applications to carry out discriminatory practices, such as setting up special files for foreign workers and making copies of their ID documents, contravenes Convention 97 of the International Labour Organisation (ILO).

Unions representing the work inspectorate have made an indefinite strike call to staff working for “the work inspection services in all the departments of France and its overseas territories as soon as they are requested to participate in actions involving the monitoring of foreigners’ illegal work.” The purpose of the action would be to protest against tasks imposed on them by the government for the purpose of deporting sans papiers.

However, the trade unions in France have shown themselves unable to defend the interests of any French workers. In November, the unions played a critical role in the betrayal of the French rail strike, which was quickly followed by a revolt of immigrants in the Parisian suburbs. The French unions made no attempt to come to the defence of the immigrant youth, who rioted following the deaths of two teenage boys in a collision with a police car.

The revolt of immigrant youth was followed by a wave of repression and arrests. The only response of the French state to the poor social conditions faced by immigrant workers is the stepped-up use of the police, and it is within this context that the new repressive measures must be seen.

The lack of any determined or concerted action by the unions, none of which support the right of all immigrants to enjoy full citizenship in France, against the increasingly restrictive and discriminatory immigration policies of successive French governments (of both the right and the “left”) since the war, rules out any credence in the effectiveness of their protests. None of them have exposed or mobilised against the anti-immigrant policies of the Socialist Party and the Plural Left Government of Lionel Jospin (1997-2002), a coalition of the Socialist Party, the Communist Party and the Greens.

Anti-immigrant surveillance networks

One of the more sinister elements of the new anti-immigrant measures is the setting up of groupes de référents (referral groups) answering to the PAF (Border Patrol Police) in public and social service departments. These referral groups will effectively involve the covert surveillance of immigrants, public service workers and humanitarian support groups and, by extension, the whole population. There is also a draft bill enabling the police to introduce spyware into computers used by sans papiers aid organisations.

Last year, the Haute-Garonne department in southwest France set up a referral group on identity fraud for its staff and in the social services. Staff at several agencies, including those that administer social security and health benefits, are expected “to participate in training organised by the PAF frontier police,” according to a memo from the local government.

An extension into state enterprises and public services (education, health, municipal government) is also planned. An Haute-Garonne préfecture memo makes clear that the aim is to set up a network on the pretext of a “struggle against fraud committed by foreign nationals.”

Government employees, who never saw their job as assisting in the police surveillance and repression of foreigners, are expected to aid in the identification of undocumented immigrants. Targeted immigrants include those under an expulsion order, those suspected of housing fraud, and those engaged in the “cover-up” of illegal situations.

The “struggle against fraud” in Haute-Garonne is a pretext for covert surveillance that breaks the rules of confidentiality. It sets up a system for the exchange of information between all the administrative services. The police will receive information from the whole of the staff of government and public services in the department.

A memo, dated October 10, 2007, circulated by the state Direction de la réglementation et des liberté publiques (Administration of Regulation and Public Freedoms), on the pretext of efficiency, seeks the extension of the files to a national level.

A petition circulated by the staff unions in the social and municipal services notes that the procedure “flouts … the obligation of professional secrecy on government workers, which protects the clients of the public services from the passing on of confidential information.”

These developments come after a series of legislative measures that massively increase the repressive powers of the state: the Perben II law, the anti-terror law and the law on the prevention of delinquency, the Equal Opportunities law and several immigration laws, all of which give increasingly vast powers and duties of surveillance to municipal and local officials over their populations.

An article posted December 22 on the Rue89 site gives an account of a bill to be placed before parliament in January giving greatly enhanced powers of electronic surveillance to the police: the Law of Orientation and Programming of Internal Security.

Contacted by journalists, the Ministry of the Interior was tight-lipped on details. However, some information has been leaked revealing that “the police would be authorised to use ‘connection keys’ in computers, not only against the criminal underworld, but also against those helping an undocumented immigrant to get into the country and to stay,” Rue89 reported. These electronic spies can monitor emails and Skype conversations and other computer communications.

The article warns that the legislation is not just directed at “people smugglers” but threatens “associations like RESF [Education Without Borders Network], which help and sometimes hide the undocumented parents of schoolchildren.”

The vice-president of the Group for Information and Support for Immigrants, Stephane Maugendre, points out, “There is a tendency towards the general criminalisation of support for sans papiers.” He adds: “This measure would be one more step. Now, the law on helping illegal immigrants to stay is so vast that it involves as much the uncle who has his nephew to stay for a few days, the little people smuggler, and the voluntary associations which aid the sans papiers as it does the big traffickers in immigrants.”

He stressed that if, up to now, no parent associated with RESF has yet been prosecuted, the pressure is mounting.

The aim of this obsessive offensive against immigrants is to create a climate of terror that will dissuade all but the “chosen” immigrants—whose qualifications will be useful to French capitalism—from trying to get to France. It also creates a layer of second-class citizens with precarious residence rights who can be used as a scapegoat for the social problems created by the right-wing policies of President Nicolas Sarkozy.

What emerges most clearly is that any attack on the most vulnerable sections of the working class and the youth undermines the rights of all and should be opposed by the entire working class.

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Menaces fils Sarkozy : MAM confirme

images fig, 15/01/2008

La ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie a confirmé ce matin sur Europe 1 que Louis Sarkozy, l’un des fils du président de la République âgé de 10 ans, avait bien reçu des menaces de mort par téléphone. Deux hommes ont été interpellés en milieu de semaine dernière.
Au cours de l’été, un salarié de l’opérateur de téléphonie Orange s’était vanté auprès de l’un de ses amis d’avoir accès à la liste des numéros des abonnés VIP, dont celui de l’ex-première dame de France, Cécilia Sarkozy. L’ami, sapeur-pompier, décide alors de composer le numéro et tombe sur Louis, le jeune fils du président de la République et de Cécilia. Il rappellera plusieurs fois l’enfant mais, selon le site internet du magazine Le Point qui a révéla l’information, se fera plus menaçant le 5 janvier où il profère des menaces de mort envers le garçonnet.
Mercredi, l’ex-épouse de Nicolas Sarkozy, Cécilia, a été entendue par la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne en charge de l’enquête ainsi que l’une de ses filles, Jeanne-Marie, selon le Point. Les policiers ont rapidement identifié l’employé indélicat d’Orange et son complice, qui ont été interpellés et placés en garde à vue dans la foulée. Déférés devant le parquet en fin de semaine, les deux hommes âgés de 21 ans et 22 ans et originaires de la banlieue parisienne comparaîtront en février devant le tribunal de Bobigny, près de Paris.

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Louis Sarkozy menacé de mort

Marie Desnos, 15/01/2008

L’un des fils de Nicolas Sarkozy, Louis, âgé de 10 ans, a reçu des menaces de mort sur son portable. Deux suspects interpellés la semaine dernière doivent être jugés le mois prochain. Ces informations, révélées par le site du Point, ont été confirmées par la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie. Elle juge cet événement « scandaleux » et assure avoir « tous les moyens de retrouver les auteurs.

Frayeur chez les Sarkozy. Depuis cet été, le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy, Louis, âgé de 10 ans, est victime d’un « déséquilibré » qui l’appelle sur son téléphone portable. Ces coups de fil ont dégénéré au point de donner lieu, début janvier, à des menaces de mort. La ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui a confirmé ces informations révélées par Lepoint.fr lundi soir, qualifie cet événement de « scandaleux et révoltant« .

Dès que le jeune garçon a alerté son père, tout est allé très vite, précise le site du magazine. Le procureur de la République de Paris, Jean-Claude Marin, a d’emblée saisi la brigade criminelle, et deux hommes ont d’ores et déjà été arrêtés. Ils doivent comparaître devant un juge du TGI de Bobigny le mois prochain.

Numéro obtenu par un salarié d’Orange

Un des suspects serait un salarié de l’opérateur téléphonique Orange. En août dernier, ce jeune homme de 21 ans se serait vanté de s’être procuré la liste des numéros des abonnés VIP, dont celui de l’ex-première dame de France, Cécilia Sarkozy. Il aurait ensuite transmis ce numéro à « l’un de ses copains de vestiaire [de rugby], sapeur-pompier de son état« , sans savoir qu’il correspondait en fait à celui de l’appareil utilisé par Louis.

Toujours selon Lepoint.fr, l’ex-femme du chef de l’état aurait été entendue à propos de cette affaire le 9 janvier dernier par la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne en charge de l’enquête, et il devrait en être de même pour sa fille Jeanne-Marie.

Bien déterminée à punir « les auteurs de tels agissements« , MAM assure avoir « tous les moyens » de les retrouver. Une garantie qu’elle doit à « la police technique et scientifique » qu’elle se félicite au passage de « développer« . Interrogée sur les risques encourus par le chef de l’État et son entourage, la ministre se veut rassurante : « Nous sommes là pour assurer la sécurité du président et de sa famille, comme de tous les Français.« 

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