En novembre 1995, Stéphane Maugendre, Avocat de l’une des parties civiles, participe au procès, devant le Tribunal correctionnel de Paris, du Chef du 8ème bureau de la Préfecture de Paris, chargé de l’éloignement des étrangers en situation irrégulière. C’est l’affaire de la Préfecture de Paris.
Avocat de la partie civile, il s’investit particulièrement dans la défense d’une victime brulée vive par la sœur de son compagnon durant une année et demi d’instruction et durant les trois jours d’audience par-devant les Assises de Bobigny au mois de décembre 1995 (L’affaire O).
En 2000 et 2001, il est l’avocat de l’une des parties civiles, victime, dans les deux procès d’assises du meurtre de la première femme policier en service ( L’affaire Choukroun).
En 2001, il dépose plainte pour le Gisti contre X suite aux observations faites entre le 15 décembre 2000 et le 31 janvier 2001 par l’Anafé (Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers), qui prouvent que des personnes viennent récupérer, au tribunal de Bobigny, de jeunes mineures libérées de la zone d’attente de Roissy pour les prostituer (L’affaire du Tribunal de Bobigny).
En juin 2001, il représente, par-devant la Cour d’Assises de Bobigny, dans une affaire de meurtre, la famille de Bienvenu Mokolo, sans-papier zaïrois devenu vigile du centre commercial de Rosny 2 (L’affaire Bienvenu).
Au mois de février 2008, il défend, par-devant le Tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis), un pompier de Paris ayant menacé par téléphone le fils du Président de la République (L’affaire du pompier de Paris).
En avril 2011, il est l’Avocat d’un jeune accusé d’avoir monté une expédition punitive contre le petit ami de sa sœur. Cette affaire avait été instrumentalisé par le ministère de l’intérieur (L’affaire de Noisy-le-Sec).
En avril 2011, il est l’Avocat de trois chauffeurs de taxis qui avaient été victimes de racket de la part de CRS (L’affaire des taxis).
Du 31 mars au 11 avril 2016, il assiste, par-devant la Cour d’Assises de Paris, l’une des 20 victimes d’un serial violeur ( L’affaire de l’électricien).
Depuis ses premières Assises en juin 1989, il assiste tant dans des affaires correctionnelles que criminelles, des personnes prévenues, accusées ou victimes de délits ou de crimes (voir la page Et encore…).