Les violences policières

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© photo Stéphane Maugendre

Au mois de mai 1997, il assure la défense d’un des leaders de la lutte des sans-papiers victimes de violences policières lors de l’occupation du chantier de la construction du stade de France (L’affaire Momar Diop).

En 1998, il assure, avec d’autres avocats, la défense de 12 maliens qui, lors de leur reconduite à la frontière, seront molestés (L’affaire des douze Maliens).

Le 20 mai 1999, il représente le Gisti, partie civile, par-devant le Tribunal Correctionnel de Nanterre, suite au décès en 1991, d’un demandeur d’asile tamoul, A.K, pour lequel le rapport d’expertise montre que l’homme est mort d’asphyxie par bâillonnement lors de sa reconduite à la frontière (L’ affaire K.).

Au mois de décembre 2002, un argentin en situation irrégulière décède suite à sa reconduite à la frontière avant le décollage de l’avion, il se constitue partie civile pour le compte de sa famille (L’ affaire Barrientos).

Au mois de janvier 2003, Un éthiopien décède lors de sa reconduite sa frontière. Il se constitue partie civile pour le compte de sa famille (L’ affaire Hagos).

En mai 2008, il assure la défense d’un jeune homme handicapé victime de violences policières (L’affaire SL).

En 2008, il est l’avocat d’une femme accusée de rébellion et d’outrage à agent des forces de l’ordre alors qu’elle se dit victime de violences policières (L’affaire Augusta M.).

Le 10 juin 2009, Ali ZIRI, retraité de 69 ans, décède suite à son interpellation par la police d’Argenteuil. Il se constitue partie civile pour sa famille (L’ affaire Ali ZIRI).

En Avril 2012, il se constitue partie civile pour un jeune homme victime d’un coup de tonfa d’un policier dans l’œil (l’affaire F.).

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